Zohariel
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 Calista Von Bedke

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Calista Von Bedke

Calista Von Bedke


Nombre de messages : 6
Date d'inscription : 28/10/2006

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MessageSujet: Calista Von Bedke   Calista Von Bedke Icon_minitimeSam 28 Oct - 11:38

Nom(s) : Von Bedke
Prénom(s) : Calista Sophia Eleanor
Surnom(s) : On n’ose généralement donner de surnoms à l’électrique brune, de peur d’avoir à subir l’un de ses regards de jais et de glace et sa voix tranchant d’un ‘Ne m’appelle plus comme ça’ presque douloureux à l’oreille. Les plus hardis se sont essayés à de vains Cali, Cay ou Lily, et les seuls ayant échappé à la froide réaction de Calista sont ceux l’ayant au courant d’un semblant de conversation surnommé Von Bedke.
Nationalité : Officiellement, Calista est Allemande. Sa mère lui a néanmoins transmit quelques racines anglaises inconnues à la jeune femme.

Date de naissance : Le 30 octobre.
Âge : 21 ans
Statut : Élève de 4e année.

Pouvoir spécifique : Élémentaire d’eau. Vu son caractère trouble et ses racines sombres, on comprend mal qu’elle est pu être associer à un élément aussi superficiellement paisible que l’eau. Elle sait par contre en démontrer un tout autre côté.
Race : Vampire. Sa mère était une Nymphe, mais elle l’ignore, comme tout le monde d’ailleurs. On peut néanmoins y reconnaître certains côtés à ses traits harmonieux.
Confrérie : Oscura

Histoire : Derreck Von Bedke était, lors de son enfance déjà, reconnu pour plusieurs chose. Il était le fils aîné de Conrad et Yasmina Von Bedke, et de un, et possédait un sadisme impressionnant pour son jeune âge. Il était l’héritier d’une longue, très longue lignée de vampires, habitait un endroit mystérieux et prestigieux d’Allemagne et était déjà, à 15 ans, fiancé à une quelconque jeune femme de bonne famille, qu’il tuerait probablement une fois un enfant –un garçon, évidemment- au monde. Bref, son destin était tout tracé, et il ne devait jamais, tout au long de sa trépidante adolescence, s’en plaindre.
Tout aurait été bien trop beau s’il avait suivit les plans… Derreck n’avait pas suivit les plans, involontairement sans doutes, mais son avenir s’en trouvait à l’avance modifiée.

Elle s’appelait Eleanor. Elle était légère, belle, facile à vivre, drôle et spontanée. Une nymphe dans toute sa splendeur, une blondinette aux yeux océan qui contrastait presque trop lorsque ses lèvres effleurèrent cette du brun ténébreux qu’était Derreck. Elle l’avait sûrement ensorcelé, essaya-t-il de se convaincre par la suite. Un Von Bedke n’aimait pas les Nymphes, il n’aimait pas les Nymphes, il n’aimait que lui et lui-même. Pourtant il n’avait su résister, et quelques mois plus tard elle extirpait de son ventre arrondi une seconde beauté, brune. Cette nuit même, Eleanor était partie. Rectifions : Cette nuit même, Derreck l’avait tué.

Des heures plus tard, il ne s’expliquait toujours pas cet acte. C’était, bien sur, dans sa nature. Pourtant, il n’avait jamais souhaité, même lorsque ses canines avaient rencontré le cou gracile de son amante, mettre fin à ses jours. Il ne l’avait même pas transformée. Juste tuée, brutalement, comme l’aurait fait l’animal sauvage en lui, comme il le faisait parfois aux autres jeunes femmes. Mais elle n’était pas une autre jeune femme. Pourquoi n’avait-il pas su résister, alors, à ce besoin impulsif ? La rage, sans doute, la colère, peut-être même l’amour. Il n’en avait, pour être honnête, rien à faire. Il était vide, lessivé d’une nuit de colère et de pensées brumeuse, et ramena cette nuit là à la demeure des Von Bedke un poupon aussi brune que son père, mais dont les grands yeux éveillés rappelait déjà ceux de sa mère. En la voyant, aussitôt Derreck s’était bien avisé de la laisser là, en proie à quelconque animal qui ne ferait qu’une bouchée de cet adorable bébé à la peau froide mais au caractère bouillonnant. À la dernière minute, par contre, il n’avait pu. Sans un mot, il était entré, avait donné à une bonne le bébé de soie enveloppé et était partie se coucher. Personne n’avait jamais eu d’explications, pas même ses parents qui eurent à se rendre à l’évidence. Ils n’auraient jamais de petit-fils comme hériter. Ils auraient une petite-fille, une petite-fille sortie de nulle part mais de qui on ne pouvait s’approcher sans que sorte de la gorge de son paternel un grognement d’avertissement.

Derreck n’avait jamais vraiment eu d’idées précises quant à ce qu’il deviendrait de sa fille. Au début, un bref, très bref instant, il l’avait espéré comme sa mère. Il aurait aimé avoir à supporter un boute-en-train, une petite fille folâtre qui lui aurait rappelée Eleanor seulement en plongeant ses yeux azurs dans les siens. Cet espoir n’avait pas duré. Calista –car c’était le nom de la petite- devrait être comme lui, et ses parents, et ses arrières grands-parents… car tel était la vie. Il ne pourrait la laissé s’épanouir comme l’aurait voulu sa génitrice, et se convainc ardemment d’en faire la digne héritière des Von Bedke. Heureusement ou malheureusement, on ne serait le dire, il devait y arriver…

Petite presque effacée mais pourtant bouillonnante et intelligente, Calista n’avait jamais cherché à connaître la raison du manque maternel qui l’accablait. Don de télépathie ou simple indifférence, peu importe, jamais elle n’avait cherché à savoir, et toujours son père devait lui en être reconnaissant. Les années passées, les mois les jours, et la ressemblance déjà évidente qu’avait Calista avec sa mère devint de plus en plus brute. Brune comme son père, presque ébène, elle possédait pourtant le corps gracile d’Eleanor, son teint pêche pâle, la fluidité de ses mouvements, la franchise de son regard et la pureté du bleu de ses yeux. Encore une fois, et à son plus grand désarroi, Derreck se trouvait incapable de savoir si cette ressemblance lui plaisait ou non.
Docile, Calista fut principalement élevée par les bonnes qu’on trouvait ici et là dans la demeure Von Bedke. Son père, supposément bien occupé ici et là, ne l’éduquait que lorsqu’il était question de magie, de pouvoir ou de caractère. Ce n’est pas lui qui lui apprit à dire ‘papa’, ‘s’il vous plait’ et ‘merci’. Il lui apprit par contre à dire ‘j’exige’, ‘je tuerai’ et ‘on s’en reparlera dans la pointe de ma baguette sera profondément enfoncé dans ton cou’… Bref, un exemple parental pour le moins sombre qui, tout naturellement, poussa directement Calista dans les bras de Durmstrang quand vint ses 11 ans.

Il était on ne peu plus naturel qu’elle intègre cette école. La lignée Von Bedke en avait été, d’abord et avant tout, et de toute façon, où aurait-elle été sinon ? À Poudlard, cette école de gentils boy-scouts ? À Beauxbâtons, cette misérable prison à la française ? Comme si elle se préparait déjà à faire parler d’elle, le reste du caractère de Calista finit sa monstrueuse dégringolade pendant l’été qui la séparait de sa rentrée. Au mois de septembre, c’était une vraie démone.

Durmstrang lui plut autant qu’il ne lui plut pas. Prison comme se devait de l’être toute école, elle s’y sentait en sécurité mais étouffée. Déjà se présentaient à elle ces premiers signes qui allaient la rendre accro à toute sorte de choses, mais elle était encore considérée comme une jeune fille plus ou moins sage… Le changement ne s’aurait tardé.
Fort, fort malheureusement au début, Calista devait faire la rencontre d’une autre élève. Erzebeth. Une Hongroise suffisante, hautaine et malveillante que Calista détesta la première fois qu’elle croisa son regard. Toutes deux étaient à l’école depuis à peine quelques jours que déjà une guerre éclatait, confrontant deux personnes qui, bien qu’elle ne le savait pas à l’époque était en fait identiques. Elles ne pouvaient se croiser sans que d’insolentes paroles soient prononcées, et les premiers sorts maléfiques appris fussent utilisés contre l’autre. Jusqu’à ce fameux cours de potion…

Encore plus stupide que pouvait l’être Beth, le professeur de potions était une erreur de la nature qu’elle détesta au premier cours. Comme pour rajouter à sa cote déjà sous zéro, cet énergumène rassembla, contre leur gré évidemment, Beth et Calista dans les travaux d’équipes. Jamais meilleure chose n’était arrivée à la jeune fille. Lors de leur premier cours en duo, Beth enflamma ‘par pur accident professeur, je vous le jure’ la cape de ce dernier, qui lentement se consuma sous le sadique sourire de Calista qui se lança elle aussi au jeu quand l’enseignant se rendit compte de la fumée que dégageait sa cape. Prétextant ‘avoir seulement voulu aider, monsieur, je vous le jure’, elle inonda le pauvre homme sous une multitude de rafales d’eau, ne s’arrêtant que lorsqu’il prit presque l’apparence d’une éponge. Le duo pour le moins électrique que devaient à partir de ce jour formé Erzebeth Valentine et Calista Von Bedke était né.

Elles ne se quittaient plus, accumulant coups sur coups mais se rachetant par des résultats scolaires presque trop beaux. Presque malheureusement, les 7 années scolaires qui composaient l’enseignement de Durmstrang se termina presque trop vite, et il fut temps aux deux jeunes femmes de quitter ce lieu où elles s’étaient tant hais, s’étaient tant appréciées, avaient tant appris et tant complotées. Mais l’amusement, lui, ne pouvait finir de sitôt… L’université, elle ? Seule au monde, Zohariel demeurait leur seule possibilité. Soit, elles l’intégrèrent. Comme son amie, Calista fut tout naturellement envoyé à Oscura. Là encore, son état se dégrada plus qu’on ne le croyait encore capable. Elle gardait toujours cet air impassible, cette maîtrise de soi sans limites et ce sadisme propre aux Von Bedke. Extérieurement, bref, elle restait fidèle à elle-même. Mais la tempête intérieure ne cessait d’hurler. Adrénaline, drogues, tout y passa, tout y passe encore, sans que personne ne puisse le savoir. L’esprit de Calista Von Bedke est un mystère indéchiffrable, un gouffre sans fond où elle-même n’ose s’aventurer. Avec les autres pourtant, même Beth, elle semble demeurer toujours la même, jamais d’écarts, jamais de différences… Elle seule s’entend crier de l’intérieur.


Caractère : Calista possède un caractère de braise, qui attire et effraie à la fois. Froide, tranchante mais également bouillonnante et fougueuse, elle garde ce corrosif caractère sous une carapace de calme et d’impassibilité constante, et ce excepté les quelques, je dis bien quelques rire qu’on réussit parfois à lui arracher. Continuellement ironique, sarcastique et cynique, Miss Von Bedke est une jeune femme mystérieuse et indépendante, qui ne supporte qu’on tente de l’approcher ou de la connaître si elle s’y oppose, ce qui est bien souvent le cas. Manipulatrice, désabusée et hautaine, elle est arrogante, suffisante, bref possède une collection de défauts qui, pourtant, rajoute à sa sensualité féline. Elle ne voit aucun inconvénient moral à mentir et jouer la comédie, et le fait d’ailleurs avec plaisir dès qu’elle en a l’occasion. Constamment lasse et blasée, Calista ne craint absolument rien, absolument personne. On reconnaît d’ailleurs toujours cette lueur de défi dans le plus profond de ses yeux noisette. Elle sait pertinemment ce qu’elle veut, et rien ne pourra l’empêcher d’atteindre ses buts, quitte alors à bousculer sans vergogne ceux qui s’imposent sur son chemin. Relativement solitaire, elle n’accepte la compagnie que de ceux qui pourront, un court instant, la divertir, et ne se vante aucunement de posséder bons nombres d’amis. Elle se contente d’une seule vraie amie et de quelques chiens de poches qu’elle rejette au fur et mesure de leur apparition. Intelligente et particulièrement tenace, Cali obtient toujours ce qu’elle convoite, mais se lasse bien vite de ce qu’elle a réussi à acquérir trop facilement. Hargneuse, intrépide et complètement inconsciente, c’est une impulsive née qui agit avant de réfléchir. Possédant toute la confiance possible en elle-même, mais affreusement méfiante envers les autres, son cœur et son orgueil sont des murs de pierres quasi impossible à démolir. D’une franchise tranchante et désarmante, elle ne se gène aucunement pour faire comprendre son dédain envers les trois-quarts des gens qui l’entourent, et son mode de vie en a fait une personne qui, la plupart du temps, est si mature qu’elle ne peut supporter l’innocence des autres.

On n’en finit toutefois pas là. En plus de cette multitude de qualités et de défauts –plus de défauts, certes- Calista est une âme torturée, un cœur souffrant en silence d’un mal qu’elle-même ne pourrait expliquer. Conséquence directe de son trouble continu, elle est sans cesse à la recherche d’adrénaline, de manière presque obsessionnelle. Jamais elle ne l’avouerait, mais seuls ces dangers et périples, ses voyages aux substances illicites et les douleurs qu’elle endurent sans broncher lui procurent le sentiment d’être véritablement en vie.


Apparence : Un brin petite pour ses 21 ans, Calista possède un charme indéniable, une sensualité folle mais également de glace. Sulfureuse dans ses mouvements et mimiques, elle dégage la puissante attraction de la femme provocante et inaccessible. Rien d’enfantin dans ses courbes pleines, ses jambes minces et galbées et son ventre plat, qui au rythme de ses mouvements sont empreints de la même sensualité féline qu’elle arbore même dans l’immobilité. Une masse de cheveux ébène, épais et sauvages, un nez et des sourcils parfaitement calculés, une bouche aux lèvres fines et suaves, une peau soyeuse, nacrée, qu’on devinerait presque goûté la pêche… Un visage qui aurait pu, selon sa description, paraître pour le moins banal, alors que le résultat sur Calista se résume en un chef d’œuvre féminin. Centre d’attraction de son visage, une paire d’yeux plus bleus que bleus, presque trop pâles pour sembler réel, plus profonds que tous les océans du monde. Un maquillage obscur, quelques vêtements légers, une chaîne d’argent qu’elle ne quitte jamais et une intime odeur de froid et de mer complète le physique de la jeune femme. Ce n’est pas à proprement dit une femme fatale. Elle n’en possède pas plus le physique que l’attitude. Néanmoins, la suffisance de son regard azur, la moue automatique de ses lèvres couleur sang et la droiture de sa posture princière accentuent l’attraction naturelle que ses seuls points physiques engendrent.
Pourtant, malgré ce physique des plus intéressant qui attire, ne le nions pas, bon nombre de regards, Calista reste une beauté des plus froide. Son regard acier en décourage plus d’un, et est généralement emplie soit de haine, de dédain ou d’un mépris pur et dur. Ses lèvres, lorsqu’ils ne sont pas retroussé en ce sexy sourire à faire fondre le plus insensible des hommes, sont sèchement pincé, voir serrées comme si elle se retenait sans cesse de balancer ses 4 vérités.


Ce qu'il/elle aime : Aussi futile que paraisse cette question, y trouver réponse relève de l’exploit. Exception faîte des balades nocturnes et des drogues qu’elle ingère fréquemment sans que ce soit vraiment su par personne, on n’en sait très peu sur ce que Calista peut aimer. Contourner les règles, sans doutes, s’amuser aux dépends des autres et user de ses talents de comédienne hors pairs en font aussi probablement parti.
Ce qu'il/elle déteste : Elle ne supporte l’autorité, l’immaturité, l’innocence et l’arrogance à son égard.

Signe(s) particulier(s) : Elle collectionne les pièces d’uniformes qu’on lui force sans cesse à racheter, vu son adorable manie de transformer comme bon lui semble et de couper ici et là l’austère robe de l’école.
Calista possède, au naturel, une peau très froide. Un frôlement de ses doigts minces sur votre joue vous rappellerait sans mal le doux contact d’une vague de lac glacé. À moins d’évènements ou d’actions très particulières (vous interprétez ça comme vous voulez ^^), sa peau est toujours ainsi, froide sans être glacée.

Animal de compagnie : Un gecko pour le moins agressif répondant au nom de Helium.

Avatar : Alexis Bledel
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James Dashwood
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James Dashwood


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MessageSujet: Re: Calista Von Bedke   Calista Von Bedke Icon_minitimeSam 28 Oct - 11:55

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